Audrey était coincée à Paris alors qu’elle aurait du rallier la Dordogne pour le 14 juillet. La Vie en avait voulu autrement et elle était maintenant en train de câliner son chat qui venait de rentrer de la clinique vétérinaire. L’été s’était installé dans la capitale. Audrey savourait ce temps paisible entre gym, café de l’industrie, promenade avec les copains copines, conférences sur Youtube, lectures matinales et nocturnes. Elle apprenait. Elle se sentait comme un moine enlumineur dans le scriptorium du Nom de la rose. C’était un de ses sentiments préférés d’ailleurs. Le Monde pouvait tourner, elle allait à son rythme ayant l’impression qu’elle allait découvrir un mystère. Mais cette fois-ci, la chaleur des nuits d’été ajoutait d’autres songes qu’elle aurait voulu retenir.